Téléphone Rose

Amour au téléphone avec des femmes qui adorent le sexe !

La femme du patron est une salope – partie 1

Ecoute des Histoires de Sexe réelles au telephone

Elle s’appelait Karine c’était la femme du patron. C’était une belle et grande bourgeoise blonde aux cheveux longs avec des formes généreuses et toujours élégante. Elle aimait se mettre en valeur avec de beaux décolletés et des jupes courtes qui laissaient deviner ses bas lorsqu’elle descendait de sa voiture. Lorsqu’elle rendait visite à son mari durant le travail tous les yeux se tournaient vers elle et c’était un réel plaisir de la voir.

Parfois nous étions de sortie pour dépanner des clients mais lorsque j’étais informé de son arrivée je prétextais toujours un oubli pour revenir à la société et la croiser. Du fait de son statut social nous n’étions rien pour elle et elle nous regardait toujours d’un air hautain voire dédaigneux, à croire que nous dire bonjour la faisait souffrir. Mais peu importe, des femmes comme ca dans les petites villes ça ne court pas les rues et rien que lde a voir m’excitait pour la semaine. J’étais tout de même surpris de cette attitude vu le bogosse que j’étais. On disait que j’avais des airs d’Antonio Banderas mais impossible qu’il ait un corps aussi musclé que le mien, bodybuilder que j’étais, et en ce qui concerne la taille de mon sexe je n’avais rien à lui envier . blonde nue allongée pour baiser

Régulièrement lors de dépannages je me tapais des ménagères hyper salopes délaissées par des cons de maris et parfois même leurs filles. Pour les exciter je portais toujours un débardeur sans manche qui mettait en valeur mes gros biceps et si possible un jean moulant mon paquet…je savais y faire avec les femmes.

Un jour alors que je circulais dans les bureaux de la société censés être vides j’entendis des gémissements dans un bureau. Sur l’instant je me dis qu’il s’agissait d’un collègue qui regardait un film x sur son portable il était impossible qu’il en fut autrement. Ni une ni deux je me précipite dans le bureau et à ma grande surprise je vis la femme du patron assise à un bureau le téléphone à la main. Mon sourire disparut dans la seconde pour laisser place à un visage blanc de terreur. Elle se leva le téléphone toujours en communication me mit dehors et claqua la porte. J’étais cuit, j’allais perdre mon travail, qu’allais-je donc raconter à ma femme et mes enfants. Je rentrai à la maison l’âme en peine et les larmes aux yeux. J’annonçai à ma femme que j’avais fait une bêtise au travail et que j’allais certainement être renvoyé mais pour cela il fallait attendre de voir avec le patron le lendemain.

Je ne dormis pas de la nuit. La femme sur laquelle je fantasmais allait me faire vivre le pire des cauchemars en me faisant perdre mon travail donc mon credit et ma maison , alors que ma situation financière ne me permettait aucun écart, et de plus il n’y avait aucune entreprise concurrente dans le coin et je ne savais rien faire d’autre. Je regrettai d’avoir ouvert cette maudite porte.
Le lendemain je retournai au bureau la mine grise comme si de rien n’était. Le patron était en déplacement. J’étais sous tension alors je prétextai une maladie pour rentrer et baiser une ancienne cliente, il fallait que je décharge, dans tous les sens du terme.
Le surlendemain je retournai à la société et j’appris que le patron désirait me voir. Je tremblais avant d’entrer dans le bureau et lorsque que je le vis je crus que j’allais m’évanouir sur place. Il m’invita à m’asseoir de toute façon ca tombait bien car je ne sentais plus mes jambes. Il avait l’air normal et me demanda ce que j’avais. Je lui répondis que j’avais un problème familial ce à quoi il se proposa de m’aider mais je déclinai l’offre. Je ne m’attendais pas à cette réaction de sa part et encore moi à ce qui suivit, c’est-à-dire effectuer un dépannage chez lui. J’hallucinai. Je sortis du bureau et j’eus l’impression d’être plus léger que l’air à tel point que j’avais envie de sauter et d’hurler dans tous les sens mais je me retins.
Que s’était il passé ? Je n’en savais strictement rien mais apparemment il n’était pas au fait de l’incident. C’était vraiment une situation étrange et j’étais dans le doute, peut être allait-elle le lui dire plus tard ?

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Je pris la voiture de fonction et me rendis aussitôt chez le patron. Je ne sais pas pourquoi mais je sentais que j’allais avoir droit à une explication. Elle ouvrit la porte en peignoir avec un regard qui laissait entendre que j’allais mourir dans les minutes qui suivent. La peur ne m’empêcha pas de mater son beau cul de salope et d’être en extase devant elle comme toujours. Je m’imaginai la prendre sur un chantier puis me ravisai, ce n’’était pas le moment de penser à ca.
Elle m’indiqua le lieu de la panne et s’absenta, tant mieux. Après examen de la panne je compris que j’en avais pour trois jours. Quel cauchemar ! Allais-je tenir d’ici là ? je me sentais vraiment mal et elle ne faisait rien pour être agréable. En revanche, aucune allusion à ce qui s’était passé, et tant mieux. Je finis la journée desséché, en effet je n’avais pas osé lui demander ne serait-ce qu’un rafraîchissement malgré la chaleur étouffante. Je partis et elle ne prit même pas la peine de me dire au revoir et claqua la porte à mon départ sans un mot.

Le lendemain je retournai directement chez le patron, toujours sous tension. Cette fois ci elle me dit bonjour et ne faisait pas la tête, cela me détendit un peu mais pas en bas du pantalon bien sur. De ce coté-là j’étais toujours au garde à vous prêt à tirer sur tout ce qui bouge, j’étais comme ca. Parfois je rêvais d’une carrière dans le porno mais je ne pouvais plus me le permettre vu ma situation familiale, dommage, j’avais raté ma vocation. Je me remis au travail et en fin de journée elle me demanda si je voulais boire quelque chose. Cette fois j’avais prévu le coup en apportant un soda et refusa son offre. Après cette mésaventure je n’osais plus la regarder en face et préférai éviter toute discussion. Elle me proposa tout de même de la rejoindre lorsque j’aurais terminé ma journée. Ce que je fis et me retrouvai avec elle dans le salon, très luxueux d’ailleurs et où elle engagea la conversation.

– Depuis quand travaillez-vous dans la société Tonio? Demanda-t-elle tout en matant mes muscles
– 5 ans Madame.
– D’après mon mari vous êtes un bon élément et êtes très demandé par les clients.
– Euhh je ne sais pas Madame mais merci pour le compliment.
– Ce que je ne comprends pas c’est que vous êtes souvent appelés par des dames.
Ça sentait le roussi et je commençai à me sentir mal.
– Oh vous savez Madame ce n’est pas moi qui prend les rendez-vous c’est la secrétaire (secrétaire qui suçait très bien, pensais-je)
– Ah oui à ce propos c’est votre petite amie ? Elle ne me dit que du bien de vous et pourtant j’ai lu dans votre dossier que vous êtes mariés ? Si je suis indiscrète vous n’êtes pas obligé de répondre.
Je me demandais ou elle voulait en venir avec ses questions, j’étais perdu et n’avait d’autre choix que de répondre.
– Bien sur que non Madame je suis marié et très fidèle mais c’est vrai que nous avons eu une relation il y a de cela quelques années lorsque je suis arrivé dans la société, à cette époque je n’étais pas marié.

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J’étais le roi des menteurs mais en même temps je fonçais droit dans le mur car tout le monde connaissait ma réputation en plus de m’être fait coincer à maintes reprises par ma femme.
Ma femme que je délaissais sexuellement tellement j’étais fatigué en rentrant à la maison. C’est sûr que baiser le matin et le soir plusieurs fois par semaine c’est éreintant.
Elle me regarda avec un sourire en coin et un air suspicieux. Je savais qu’elle savait tout.

– Vous savez la dernière fois
Je lui coupai la parole.
– Ah oui l’autre fois je suis vraiment désolé je ne l’ai dit à personne je ne savais pas que c’était vous vous savez j’ai un collègue qui n’arrête pas de visionner des vidéos X avec son portable je pensais que c’était lui.
– Ah bon et on peut savoir ce qu’il regarde au lieu de travailler.
J’étais mal… je n’allais pas balancer mon ami.
– Je ne peux pas vous dire qui est-ce mais en fait il aime les vidéos X d’où mon erreur je suis encore désolé je vous en supplie je ne veux pas perdre mon travail vous savez j’ai une femme des enfants un crédit.
– Ne vous en faites pas pour cela ce sera notre secret me dit-elle.
Et plus la conversation avançait et plus elle se tordait de manière étrange sur son fauteuil.
– Approchez-vous près de moi je vous prie.
Je ne me fis pas prier et m’assis à coté d’elle.
– Comment faites-vous pour avoir de si beaux muscles je peux toucher?
– Euh oui allez y je vous en prie

Je sentais que le ciel allait me tomber sur la tête. C’était la femme du patron je ne pouvais me permettre que de fantasmer mais rien de plus, j’avais l’impression de rêver éveillé.
Je sentis le bout de ses ongles sur mes biceps, je crus que j’allais m’évanouir. J’étais pétrifié et à cause de cet incident je me retrouvai dans une situation ambigüe. Moi le macho qui se la joue devant toutes les femmes j’étais prostré comme un petit garçon.
Je sentis d’un seul coup ma bite devenir plus dure qu’elle ne l’avait jamais été et n’étant pas préparé ca me faisait mal dans mon pantalon. Ses mains glissèrent sous mon débardeur pour se diriger vers mes tetons qu’elle pinça si fort que je me mis à hurler. Elle retira sa main en éclatant de rire.

– Allez rentrez vite chez vous vous reposer vous devez être fatigué et mon mari ne va pas tarder à arriver.
– Euh oui Madame répondis-je en esquissant un demi-sourire.
– Non c’est Karine quand nous sommes en privés, au revoir Tonio.

En partant elle me fit la bise et au contact de sa peau je compris que j’avais mis un pied au paradis.
Ma femme ne comprit pas pourquoi j’étais tout sourire toute la soirée. Je prétextai que le problème à la société avait été résolu et que le patron s’était rendu compte que je n’y étais pour rien. Je baisai ma femme jusqu’à tard dans la nuit au point que le matin elle marchait en canard. Elle me fit promettre de ne plus recommencer comme ca. Bien qu’elle m’aimait elle n’avait jamais été fan de grosses bites et cette fois j’y étais allé un peu fort.
Le troisième jour je retournai chez la femme du patron. Je restais méfiant à cause des événements de la veille, de plus n’ayant jamais fréquenté de bourgeoises je ne savais pas quelle allait être sa réaction même si au fond je n’étais pas responsable de ce qui s’était passé.

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Elle ouvrit la porte avec un grand sourire. Elle était habillée comme une salope, visiblement elle m’attendait. Jupe courte, bas sexy (cette fois ci ils étaient visibles tellement la jupe était courte) et talons aiguilles, chemiser à manches courtes ouvert jusqu’à la poitrine, je devinai qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge.

Nous nous rendîmes dans le salon et elle se jeta sur moi, ou plutôt sur ma bite. On aurait dit qu’elle n’avait pas gouté une bite depuis des années. Elle l’avalait goulument et faisait sans cesse des va-et-vient en me jetant des regards en permanence, la salive dégoulinait de sa bouche chaude et humide, je caressai sa tête et sa longue chevelure en même temps. Elle avalait ma bite toute entière jusqu’à s’étouffer puis se retirait et recommençai de plus belle. Je fus surpris qu’elle arrivait à l’avaler entière la première fois, elle devait être expérimentée.
Elle me bouffa les couilles et me caressai les fesses et mes cuisses musclés c’était une pure merveille. Je sentais qu’elle prenait du plaisir elle était déchainée. Elle me mordillait le gland tout en me branlant c’était grandiose. J’étais dur comme de l’acier et elle le sentait, je bloquai sa tête et me mis a faire des va-et-vient dans sa bouche elle gémissait comme une folle. J’adorais baiser la bouche d’une salope et la sienne encore plus. Je lui pinçai le nez en même temps pour l’empêcher de respirer (j’avais vu ca dans les films de cul et je m’étais toujours demandé à quoi ça servait mais elle aimait ça). Je passai mes mains sur ses gros seins ronds et fermes à travers sa chemise qu’elle déboutonna petit a petit. Je sentis le jus venir et je me retenais au maximum pour faire durer le plaisir. A un moment je lui demandai de me sucer lentement et de me branler car je ne voulais pas jouir de suite. Je ne voulais plus que ca s’arrête et mettait tout en œuvre pour ne pas gicler, grande inspiration et retenue de la respiration et tout le toutim, j’étais un pro elle avait choisi le bon étalon.


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