Ecoute des Histoires de Sexe réelles au telephone
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Cela faisait trois mois que nous faisions des dialogues de cul au téléphone et je ne la connaissais meme pas. Elle avait une voix de salope et apparemement c’était une connaisseuse du sexe, ou plutôt disons-nous une vraie obsédée sexuelle. C’est pour cela que chaque soir lorsque le bureau était vide j’avais le droit a ma conversation érotique, meme lorsque j’etais fatigué et que j’etais pressé de rentrer. Je ne pouvais resister car elle était si persuasive et sa voix ma foi, était si chaude que je me serais cru a une sceance de téléphone rose, heureusement que je pouvais fermer le bureau a clé.
C’était une fois de plus une conséquence insoupconnée de ma bogossitude. En tant qu’ancien mannequin j’avais du succès auprès de la gente féminine et il n’était pas rare que je les surprenne à me regarder ou parler du coin de l’œil. Pour moi c’était toutes des vieilles salopes prêtes à tromper leur mari derrière une photocopieuse ou même dans un placard, sans oublier ces petites stagiaires pucelles que j’aurais bien déflorées si ce n’était les conditions de travail.
Nous travaillions dans la meme societe mais dans quel service je l’ignorais. Et malgré toutes mes recherches il m’était impossible de savoir qui elle était et où elle se trouvait. Elle réussissait à cacher son identité en passant par le standard ou je ne sais quelle manipulation téléphonique trop technique pour un comptable comme moi. Je soupçonnais toujours cette petite brune aux yeux bleus qui me regardait du coin de l’œil à la cafeteria et que je n’osais pas aborder, ou bien peut etre était-ce cette belle asiatique sexy toujours en tailleur ?
impossible de le savoir et surtout impossible de prendre le risque d’aborder la conversation sur le sujet. J’avais tout tenté pour la repérer et j’allais même jusqu’à attendre en face de la sociéte à son heure de sortie mais rien à faire, elle devait certainement sortir par le garage, ce qui sous-entendait qu’elle était à la direction mais non ce n’était pas possible, ils n’ont pas que ça à faire vu la situation financière catastrophique de la société.
Ce qui me dérangeait le plus c’est qu’elle me connaissait et qu’elle refusait tout contact réel. Un jour je decidai donc de mettre un terme à ce petit jeu. Pour etre sincere j’aurais aimé continuer mais une fois par semaine seulement, alors que cette extrémiste du sexe ne pouvait s’empêcher de m’appeler trois à quatre fois par semaine. Elle ne baisait pas dans sa vie ou quoi?
J’attendis son appel comme d’habitude et après une bonne branlette sur mon bureau je lui annoncai la nouvelle qui la bouleversa. Je profitai de la situation pour lui faire promettre de se présenter a mon bureau cette semaine. Elle m’annonca que son physique n’était pas celui dont je rêvais mais je lui promis à mon tour que je n’en tiendrai pas rigueur, j’avais seulement envie de mettre un visage sur cette voix chaude et excitante. Une semaine passa mais rien, puis deux semaines et toujours rien. Je compris qu’elle avait abandonné et tant mieux pour moi.
Un jour alors que je m’intoxiquais les poumons sur le trottoir devant la société, la jeune brune mince et coquine m’aborda.
– Bonjour comment allez-vous ?
– Bien merci et vous ?
– Très bien merci, dites-moi j’ai appris que vous travaillez au service comptable pourriez-vous me rendre un service, j’ai besoin de documents qui tardent à parvenir à mon service.
– Passez quand vous voulez mais au fait cela fait longtemps que vous travaillez ici n’est ce pas, je vous ai remarqué a la cafeteria.
– Moi aussi je vous ai remarqué dit-elle en souriant.
Je me mis à lui poser des questions jusqu’au moment ou je m’aperçus que c’était elle qui m’appelait, à vrai dire la voix était très ressemblante et on sait combien le téléphone change la voix. Je lui demandai également à quelle heure elle terminait et mazette ! les horaires concordaient ! Elle qui me matait depuis fort longtemps avait l’air si timide, c’était peut-être pour cela qu’elle n’osait pas me rencontrer. Quoiqu’il en soit je ne lui parlai pas des conversations érotiques au téléphone et lui proposai de passer le soir lorsque tout le monde serait parti, prétextant que nous pourrions discuter et faire plus ample connaissance dans de meilleures conditions, elle acquiesca.
Elle arriva à l’heure prévue et j’ouvrai la porte.
– Rebonjour la journée s’est bien passée ?
– On peut dire que oui, répondit-elle avec un sourire malicieux, me faisant comprendre que c’était parce que nous avions parlé.
– Bon occupons-nous de vos documents tout de suite je dois rentrer à la maison donner à manger a mon chat.
En fait je n’avais rien à faire de spécial mais c’était une astuce pour attirer les nanas en leur montrant qu’on n’était pas plus intéressé que ça.
Je sortis une tonne de document et l’invitai à me suivre vers la photocopieuse pour m’aider. Après trente minutes minutes de bavardage et de plaisanterie sur les publicités à caractère sexuelle pour photocopieuses elle se jeta sur moi. Je fus littéralement pris par surprise. Elle prit ma tete et m’embrassa vigoureusement, j’etais surpris par une telle force dans de si petites mains, était-ce la force de la passion amoureuse ? je sentis sa langue chaude pénétrer ma bouche et elle m’embrassa longuement. Puis se mit à me lécher le cou, me demanda si cela ne me gênait pas, et en lui répondant non elle continua de plus belle.
– Je ne sais rien de vous mais cela fait si longtemps que je me retiens je vous trouve si beau je reve de vous chaque nuit je suis excitée comme une folle à chaque fois que je vous vois,dit-elle.
Tant mieux ma petite me disais-je en me laissant faire, moi c’est de ton petit cul que je rêve chaque soir.
Elle ouvra ma chemise bouton après bouton et se mit à lécher ma poitrine, j’en profitai pour caresser sa belle chevelure brune et entrai ma main à travers son chemisier pour toucher ses petits seins si mignons. Je lui pincai les têtons elle aimait ça et tandis qu’elle me léchait elle se dirigea vers le bas. Elle défit ma ceinture et déboutonna ma braguette puis se mit à genoux et commenca à masser mon slip. Je me tenais debout dos au bureau et me remémorait qu’un ami m’avait dit que les plus timides sont les plus salopes, il n’avait pas tort.
Ma queue était déjà toute dure et ne demandait qu’à sortir alors je baissai complètement mon pantalon et mon calecon, je pris ma queue d’une main et sa tête de l’autre et mis ma grosse bite dans sa bouche. Elle se mit à me pomper vigoureusement tout en me branlant, elle savait y faire, elle tenta de me doigter le cul mais je lui dis non mais elle passait quand même ses doigts dans ma raie. Je ne pouvais que me laisser faire et j’adorais ça. Jamais je n’aurais cru cela malgré les bruits qui couraient dans la société. Etant un responsable et qui plus est nouveau je ne me permettais pas de prendre le risque de draguer et encore moins de baiser, mais les rumeurs etaient fondées. Pendant qu’elle me suçait avec sa petite tête et sa petite bouche je me mis à penser aux conséquences des relations sexuelles sur les performances de l’entreprise, y avait il un rapport ? je décidai d’arrêter de penser à ces conneries pour me concentrer sur elle.
Alors qu’elle me bouffait les couilles je la mis debout et la penchai sur mon bureau. Je relevai sa petite jupe pour découvrir un superbe petit cul sous un string en dentelle. J’écartai son string et la pénétrai avec deux doigts ce qui la fit gémir. Elle était trempée et mes doigts entrèrent comme dans du beurre. Sa chatte était serrée et mouillée cela promettait du bon temps pour ma queue. Tout en faisant des va-et-vient dans sa chatte je lui faisais lécher mes autres doigts. Ensuite je me positionnai derrière elle, écarta ses fesses d’une main puis la pénétrai doucement avec ma queue. Elle était en chaleur et je dus mettre ma main sur sa bouche pour l’empêcher de gémir trop fort. Je tenais ses hanches et je la limai ainsi tès longtemps. Quel petit cul magnifique je sentais sa chatte s’ouvrir comme une fleur au fur et à mesure. Puis je la retournai sur mon bureau leva ses jambes en l’air et recommencai à la baiser de toutes mes forces, ensuite je la mis sur le coté et ainsi pendant une heure. Elle était rouge ses cheveux etaient en petard son cul était en feu mais elle en redemandait comme si c’était son dernier jour. Lorsque je sentis que j’allais jouir elle se mit à genoux et je lui crachai tout mon sperme sur le visage et dans la bouche, ça coulait partout. Elle me suça encore quelques instants puis nous nous embrassâmes sur la bouche. Nous restâmes ainsi l’un contre l’autre sur le bureau durant un bon quart d’heure puis nous nous rhabillâmes tout en souriant. Quelle fille fantastique, il était évident que nous allions nous revoir. Avec elle mes fantasmes de sexe au bureau dues aux conversations érotiques au téléphone s’étaient réalisés. J’allai lui chercher une boisson au distributeur puis nous décidâmes de rentrer ensemble.
Un mystère subsistait tout de même, était-elle la fille salope du téléphone ?
Quelques semaines plus tard le téléphone sonna, c’était la fille du téléphone. Elle m’apprit qu’elle avait été malade et qu’elle n’avait pu me prévenir. Je la remerciai tout en me disant que j’avais eu de la chance de ne pas parler des branlettes au téléphone à ma nouvelle copine.